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Le coach montargois Adriano Marlin satisfait mais un peu " frustré " du match nul de ses joueuses ce samedi à Paris. Photo d’archives : Hervé Stanciu.
Le coach montargois Adriano Marlin satisfait mais un peu " frustré " du match nul de ses joueuses ce samedi à Paris. Photo d’archives : Hervé Stanciu.

Les handballeuses montargoises ont livré une courageuse prestation ce samedi 19 avril en parvenant à accrocher le Paris Sport Club, le co-leader de la poule 5 en Nationale 2 (27-27).

C’est un précieux point que les coéquipières de Jade Dunis ont réussi à decrocher face à la très redoutable formation parisienne. Mais la frustration est palpable dans le camp montargois, compte tenu du scénario. En effet, l’USM Montargis a très longtemps donné des sueurs froides à son adversaire (mi-temps : 13-19). La résistance des Montargoises s’est poursuivie l’espace de...55 minutes. Avant que Paris ne remette les pendules à l’heure. Les deux équipes se séparaient dos à dos (27-27). Les jaunes et bleu pointent à la 9e place au classement (25 points), devant P2H Handball (10e, 24 pts), battue par Villers. Samedi 26 avril, Montargis accueillera P2H Handball (20h45) dans un match qui s’annonce déjà déterminant pour le maintien en Nationale 2. Adriano Marlin, l’entraîneur local, en parle. Extrait.


Quelle est votre analyse au sortir de ce match nul face au Paris Sport Club ?

On a fait un bon match pendant 40 minutes. Puis, une contre-performance qui donne à Paris l'occasion de revenir et d'y croire. Notre avantage au score nous permet de tenir le match nul mais j'aurais préféré une victoire.


De la satisfaction mais de la frustration, aussi, puisqu’il y avait réellement de la place pour réaliser un joli coup. N’est-ce pas ?

Frustrant bien évidemment, quand tu domines le match et que tu te fais rattraper dans les dernières minutes. C'est automatiquement frustrant mais c'est le lot de tous les matchs à enjeux. Nous avions besoin de gagner pour assurer notre maintien et Paris avait besoin d'une victoire pour continuer de croire à une montée. Plus la fin du match approche et plus la balle vaut cher.


La suite ?

C'est une semaine de travail qui nous attend pour assurer notre maintien samedi prochain à domicile (face à P2H Handball).

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L’USM Montargis disputera la demi-finale de la Régionale 2 ce dimanche 20 avril, à domicile, face à Loches, au cours d’une empoignade qui s’annonce excitante et décisive. Photo USM Montargis rugby.

Battre Loches pour aller négocier la finale pour le très convoité titre de champion de Régionale 2, le 4 mai, à Chinon, telle est l’ambition du XV de Montargis dans quelques heures. L’enjeu est capital. Les Montargois n’entendant sûrement pas laisser passer une telle opportunité, eux qui ont vécu un parcours plutôt satisfaisant cette saison. Ce dimanche, les rugbymen locaux veulent franchir ce dernier carré avant d’aller défier, début mai, dans l’Indre-et-Loire, le vainqueur de l’autre demi-finale qui se déplacera également ce 20 avril entre Sancoins et Fleury-les-Aubrais.

Louis Hardouin en larmes après sa chute provoquée par un coureur adverse. Photo : Guidon châlettois.
Louis Hardouin en larmes après sa chute provoquée par un coureur adverse. Photo : Guidon châlettois.

Stupéfaction dans les rangs du Guidon châlettois au terme de la quatrième étape du Tour du Loir-et-Cher disputée sous la pluie ce samedi 19 avril. Parce que Louis Hardouin, parfaitement placé pour remporter les débats, aurait été, selon le club local, " volontairement jeté au sol " par un coureur de l’équipe ATT Investments, et ce, à six kilomètres de l’arrivée.

Le communiqué des responsables du Guidon châlettois en dit long sur leur colère née au sortir de cette étape du Tour du Loir-et-Cher. En effet, le coureur Louis Hardouin, idéalement lancé pour signer sa victoire, s’est terriblement retrouvé au sol et a perdu toutes ses chances de franchir triomphalement la ligne d’arrivée, lui qui etait sur le podium général avant le départ. Les faits se sont déroulés au dernier tour du circuit final à Pruniers-en-Sologne. " Louis (Hardouin) a subi une agression a plus de 50 km/h. Il a été volontairement jeté au sol et aurait pu se blesser plus sérieusement. Aucune sanction de la part des commissaires malgré des témoignages de coureur, du directeur sportif dès l’arrivée, et d’autres qui nous arrivent en fin de soirée. Comment peut-on entendre qu’il y a trop de chutes sur les courses cyclistes et laisser impunis des gestes comme celui-ci ? Comment des commissaires UCI ne peuvent s’occuper sérieusement de fait aussi grave ? Doit-on attendre un drame pour sanctionner ces comportements ?Sportivement les espoirs de podium du Chalettois (Louis Hardouin) sont stoppés net à cause d’un coureur qui se prend pour un justicier ", a écrit le Guidon châlettois sur sa page Facebook. Vraiment frustrant !


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