top of page

Taner Kara (FC Mandorais) et René Grandjean (US Cepoy/Corquilleroy) seront présents lors de la finale de Coupe de France et la Coupe Gambardella, le 24 mai, au Stade de France. Photo : Lyes Baloul.
Taner Kara (FC Mandorais) et René Grandjean (US Cepoy/Corquilleroy) seront présents lors de la finale de Coupe de France et la Coupe Gambardella, le 24 mai, au Stade de France. Photo : Lyes Baloul.

Le district du Loiret de football a convié René Grandjean, le président de l'US Cepoy/Corquilleroy et Taner Kara, éducateur au FC Mandorais, à assister aux deux finales; la Coupe de France et la Coupe Gambardella qui se dérouleront le 24 mai au Stade de France. 

La Fédération française de football perpétue la tradition. En effet, chaque année, la FFF offre aux acteurs du football amateur l'opportunité de participer à ces deux finales, et ce, une manière de les encourager dans leur dévouement pour le ballon rond. Mais pas que ! Car le geste de la Fédération s'inscrit, à juste titre, dans un processus de reconnaissance de l'investissement indéfectible des bénévoles sur les terrains de football. 


René Grandjean et Taner Kara, la juste reconnaissance

Ils seront 1 000 dirigeants, venus des différentes ligues de football de France, à rallier le Stade de France le 24 mai. La ligue du Cente-Val de Loire sera représentée par une quarantaine de conviés dont six en provenance du district du Loiret. C'est justement l'institution départementale du président Benoît Lainé qui propose volontairement des noms de footballeurs amateurs loirétains. C'est ensuite la ligue qui tranche et valide (ou pas) la liste. Le comité directeur du district du Loiret choisit ses potentiels invités en fonction de plusieurs critères. Parmi eux : avoir une licence de dirigeant au moins depuis 6 ans. René Grandjean, le président de l'US Cepoy/Corquilleroy et Taner Kara, éducateur au FC Mandorais, ne sont plus à présenter sur la scène footballistique locale. Amoureux du terrain, ces deux hommes partagent les mêmes convictions : un attrait pour l'épanouissement des jeunes. L'un, épaulé par son épouse (secrétaire), dirige magistralement les affaires de l'US Cepoy/Corquilleroy quand l'autre a littéralement métamorphosé le pôle jeunes du FC Mandorais. " Cette invitation du district fait chaud au coeur. Je suis naturellement content de faire partie de ces bénévoles amateurs français qui vivent leur passion au quotidien sur les terrains de football ", glisse René Grandjean. Même son de cloche chez Taner Kara, père de trois enfants, tous footballeurs. " Il est évident que cette invitation me procure du bonheur. Les footballeurs amateurs méritent amplement ce type d'initiatives. Ils sont les gardiens de la survie de notre sport...". Un programme extrêmement riche attend les deux Gâtinais, les 24 et 25 mai. Samedi, ce sera la finale de la Coupe Gambardella (U19) opposant Dijon à Rennes (17 heures). Avant la grande finale de la Coupe de France entre le PSG et le Stade de Reims (21 heures). Dimanche, René et Taner et le millier de bénévoles assistent, à Paris, à un spectacle. Avant de retrouver l'agglomération montargoise, le soir. Avec certainement des étoiles dans les yeux.  



Lisa Chauvot, 44 buts inscrits en 18 matches disputés sous les couleurs de Montargis, cette saison. Photo : Hervé Stanciu.
Lisa Chauvot, 44 buts inscrits en 18 matches disputés sous les couleurs de Montargis, cette saison. Photo : Hervé Stanciu.

Elle fait partie du noyau de jeunes joueuses évoluant sous la coupe d'Adriano Marlin, le coach de l'USM Montargis. Lisa Chauvot (1,59 m). 19 ans. Et des ambitions à la pelle. Elle a déjà pris sa décision de rester dans le Gâtinais, la saison prochaine. En attendant, l'ailière gauche locale veut absolument que son équipe se maintienne en Nationale 2. L'affaire " n'est même pas négociable" à en croire l'étudiante de STAPS, à l'université d'Orléans.

Arrivée de Fleury à l'été 2024, où elle avait évolué en jeunes puis en seniors (N1, N2), Lisa Chauvot a rapidement pris ses quartiers à Montargis. J'ai été super bien accueillie par le club. Les joueuses et les dirigeants m'ont vraiment aidé à m'intégrer dans la structure. Franchement, je ne pouvais pas rêver mieux...". Aucune difficulté d'adaptation, donc, pour la jeune joueuse, née à Nevers, dans la Nièvre. " J'ai la chance de faire partie d'un effectif varié. Il y a de la jeunesse. Et des cadres qui nous orientent, accompagnent dans notre processus de développement ", explique celle qui porte le numéro 48 du club montargois.


" Grâce aux filles et à Adriano, j'ai retrouvé une certaine confiance en moi ". Lisa Chauvot.

Lisa Chauvot le dit. " En début de saison, j'ai eu du mal à me performer. Avec l'équipe, on a vécu une phase descendante. Personnellement, j'ai eu des difficultés à m'imposer dans de gros matches. Mais grâce aux filles et Adriano (Marlin, le coach), j'ai retrouvé une certaine confiance en moi. Mentalement, il y a eu du positif. Maintenant, c'est à moi de continuer le travail pour progresser ", estime celle qui totalise 44 buts en 18 matches disputés cette saison.


" Il faudra indiscutablement gagner nos deux prochains matches "

Les handballeuses montargoises ont désormais leur destin en main. En effet, pour se maintenir en Nationale 2, les coéquipières de Lisa Chauvot savent ce qu'elles doivent réussir : une victoire et un nul. Samedi 10 mai, elles se déplaceront à Cergy. Avant de conclure l'exercice, à la maison, le 24 mai, face à Chevigny-Saint-Sauveur (20h30). " Il faudra d'abord gagner à Cergy, avant de finir le travail, chez nous. C'est indiscutable ! ", glisse la jeune joueuse. " Il y a eu des hauts et des bas cette saison. On a cette difficulté à bien rentrer dans nos matches et à mal les finir. Deux extrémités qui nous ont souvent coûté cher. Pourtant, on a une bonne équipe, avec un état d'esprit sain. On s'entend bien entre nous. La cohésion est là. Mais bon, maintenant, c'est à nous de corriger nos erreurs pour sauver le club de la relégation ". La révolte de la jeunesse montargoise a-t-elle enfin sonné ? Seul le terrain jugera...

ree


Les féminines amilloises ont réussi une belle performances aux interclubs de Gien. Photos : J3 Amilly athlétisme.
Les féminines amilloises ont réussi une belle performances aux interclubs de Gien. Photos : J3 Amilly athlétisme.

La première manche des interclubs d'athlétisme qui s'est déroulée dimanche à Gien a souri à la délégation des J3 Amilly. Une très louable deuxième place au classement (38009 points) derrière Châteauroux (39135 pts).

La route pour le maintien en Nationale 2 est désormais tracée pour les J3 Amilly. Sept juges at autant d'entraîneurs ainsi que cinquante athlètes amillois ont pris part à cette compétition. 38009, c'est le nombre de points décrochés par les représentants des J3, soit pratiquement le même résultat obtenu la saison dernière lors de la deuxième manche. " Les conditions climatiques n’étaient pourtant pas du tout au beau fixe et ont rendu les concours et courses difficiles ", explique Corentin Thomas, l'un des coachs amillois. " D’un point de vue classement, nous avons fait très bonne figure dans cette poule géographique. Cette année, le premier tour était un tour de secteur pour éviter aux clubs des gros déplacements. Nous faisions match contre Châteauroux et Bourges qui sont de notre niveau en N2 ainsi que les clubs de Saint-Amand-Montrond, Montargis, Vierzon, Pithiviers, Sancerre, Issoudun, Avord qui évoluent en N3 ou en régional. Notre équipe termine 2e peu de points derrière Châteauroux sur ces 11 équipes présentes ", décortique Corentin Thomas. Et de conclure." L’équipe sera renforcée comme chaque année au 2e tour et visera de se rapprocher des 41000pts (le club a un record à 43799pts) ce qui maintiendrait assez aisément notre club en N2 ".


ree

ree


bottom of page